Dit-on « un lever de drapeau » ou « une levée de drapeau » ?
En fait, il s’agit de « un lever de drapeau » puisque le nom masculin « lever » fait référence au moment précis où se passe l’action de lever, dans le même sens que « coucher de soleil ». En français, le mot « levée » a plutôt le sens de recueillir (levée des impôts) ou de cesser (levée de séance).
LES ARMOIRIES DE L'AFO POUR LA COMMUNAUTÉ FRANCO-ONTARIENNE
Éléments identitaires et historiques:
Les armes :
La première grande image est le navire de Samuel de Champlain, premier explorateur des Pays d’en haut soit l’Ontario d’aujourd’hui. La caravelle représente les vagues successives d’immigration de toute souche ayant construit l’Ontario français d’aujourd’hui. Le courage, leur détermination et leur volonté de construire un espace francophone en Ontario sont représentés par les couleurs du navire. Le haut des armes porte le drapeau franco-ontarien, symbole identitaire de la communauté francophone de l’Ontario. La fleur de trille, symbole de l’Ontario représente la fierté franco-ontarienne avec une fleur de lys qui est le symbole de la francophonie au Canada. Les couleurs représentent le vert des étés et le blanc, les hivers.
Le cimier :
Les symboles par excellence sont la lyre et les masques du monde des arts, symbole de la culture franco-ontarienne. Ces symboles culturels identitaires rendent hommage à toute la création artistique franco-ontarienne sous toutes ses formes. Les feuilles d’érable soulignent l’attachement et la contribution au Canada des francophones ontariens tandis que les cloches sont le bruit et le rassemblement de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario et autrefois, l’ACFO provinciale et au départ, l’ACFÉO.
La devise :
« Nous sommes, nous serons » est le cri de ralliement des francophones de l’Ontario depuis plus de cinquante ans débutant au sein de l’ACFO provinciale.
Les supports :
L’animal par excellence est le castor qui représente la quête des fourrures et du mouvement vers la découverte du territoire ontarien par les Européens. Les castors portent au cou des livres qui représentent l’importance de l’éducation dans le combat identitaire et la survie de la communauté franco-ontarienne. La création littéraire est un des outils de l’expression de la réalité francophone de l’Ontario. Les épingles à chapeau rappellent la lutte contre le Règlement XVII qui a interdit l’enseignement du français dans les écoles de la province de 1912 à 1927. Les mères de l’école Guigues à Ottawa utilisèrent ces épingles à chapeau afin d’interdire l’entrée des inspecteurs de la province dans l’école qui avait le mandat de signaler tout manquement à l’interdiction d’enseigner en langue française. Dans l’autre cou du castor, on note le pic de mineur et la pelle qui honorent les pionniers qui ont activement participé à la découverte et à la mise en valeur des richesses du sol et du sous-sol et en particulier dans le nord de l’Ontario. Le champ cultivé représente l’agriculture en particulier dans le Sud et l’est de l’Ontario tandis que les conifères sont l’histoire de l’industrie des pâtes et papiers.
Dit-on « un lever de drapeau » ou « une levée de drapeau » ?
En fait, il s’agit de « un lever de drapeau » puisque le nom masculin « lever » fait référence au moment précis où se passe l’action de lever, dans le même sens que « coucher de soleil ». En français, le mot « levée » a plutôt le sens de recueillir (levée des impôts) ou de cesser (levée de séance).
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Dit-on « un lever de drapeau » ou « une levée de drapeau » ?
En fait, il s’agit de « un lever de drapeau » puisque le nom masculin « lever » fait référence au moment précis où se passe l’action de lever, dans le même sens que « coucher de soleil ». En français, le mot « levée » a plutôt le sens de recueillir (levée des impôts) ou de cesser (levée de séance).
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Éléments identitaires et historiques:
Les armes :
La première grande image est le navire de Samuel de Champlain, premier explorateur des Pays d’en haut soit l’Ontario d’aujourd’hui. La caravelle représente les vagues successives d’immigration de toute souche ayant construit l’Ontario français d’aujourd’hui. Le courage, leur détermination et leur volonté de construire un espace francophone en Ontario sont représentés par les couleurs du navire. Le haut des armes porte le drapeau franco-ontarien, symbole identitaire de la communauté francophone de l’Ontario. La fleur de trille, symbole de l’Ontario représente la fierté franco-ontarienne avec une fleur de lys qui est le symbole de la francophonie au Canada. Les couleurs représentent le vert des étés et le blanc, les hivers.
Le cimier :
Les symboles par excellence sont la lyre et les masques du monde des arts, symbole de la culture franco-ontarienne. Ces symboles culturels identitaires rendent hommage à toute la création artistique franco-ontarienne sous toutes ses formes. Les feuilles d’érable soulignent l’attachement et la contribution au Canada des francophones ontariens tandis que les cloches sont le bruit et le rassemblement de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario et autrefois, l’ACFO provinciale et au départ, l’ACFÉO.
La devise :
« Nous sommes, nous serons » est le cri de ralliement des francophones de l’Ontario depuis plus de cinquante ans débutant au sein de l’ACFO provinciale.
Les supports :
L’animal par excellence est le castor qui représente la quête des fourrures et du mouvement vers la découverte du territoire ontarien par les Européens. Les castors portent au cou des livres qui représentent l’importance de l’éducation dans le combat identitaire et la survie de la communauté franco-ontarienne. La création littéraire est un des outils de l’expression de la réalité francophone de l’Ontario. Les épingles à chapeau rappellent la lutte contre le Règlement XVII qui a interdit l’enseignement du français dans les écoles de la province de 1912 à 1927. Les mères de l’école Guigues à Ottawa utilisèrent ces épingles à chapeau afin d’interdire l’entrée des inspecteurs de la province dans l’école qui avait le mandat de signaler tout manquement à l’interdiction d’enseigner en langue française. Dans l’autre cou du castor, on note le pic de mineur et la pelle qui honorent les pionniers qui ont activement participé à la découverte et à la mise en valeur des richesses du sol et du sous-sol et en particulier dans le nord de l’Ontario. Le champ cultivé représente l’agriculture en particulier dans le Sud et l’est de l’Ontario tandis que les conifères sont l’histoire de l’industrie des pâtes et papiers.
Éléments identitaires et historiques:
Les armes :
La première grande image est le navire de Samuel de Champlain, premier explorateur des Pays d’en haut soit l’Ontario d’aujourd’hui. La caravelle représente les vagues successives d’immigration de toute souche ayant construit l’Ontario français d’aujourd’hui. Le courage, leur détermination et leur volonté de construire un espace francophone en Ontario sont représentés par les couleurs du navire. Le haut des armes porte le drapeau franco-ontarien, symbole identitaire de la communauté francophone de l’Ontario. La fleur de trille, symbole de l’Ontario représente la fierté franco-ontarienne avec une fleur de lys qui est le symbole de la francophonie au Canada. Les couleurs représentent le vert des étés et le blanc, les hivers.
Le cimier :
Les symboles par excellence sont la lyre et les masques du monde des arts, symbole de la culture franco-ontarienne. Ces symboles culturels identitaires rendent hommage à toute la création artistique franco-ontarienne sous toutes ses formes. Les feuilles d’érable soulignent l’attachement et la contribution au Canada des francophones ontariens tandis que les cloches sont le bruit et le rassemblement de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario et autrefois, l’ACFO provinciale et au départ, l’ACFÉO.
La devise :
« Nous sommes, nous serons » est le cri de ralliement des francophones de l’Ontario depuis plus de cinquante ans débutant au sein de l’ACFO provinciale.
Les supports :
L’animal par excellence est le castor qui représente la quête des fourrures et du mouvement vers la découverte du territoire ontarien par les Européens. Les castors portent au cou des livres qui représentent l’importance de l’éducation dans le combat identitaire et la survie de la communauté franco-ontarienne. La création littéraire est un des outils de l’expression de la réalité francophone de l’Ontario. Les épingles à chapeau rappellent la lutte contre le Règlement XVII qui a interdit l’enseignement du français dans les écoles de la province de 1912 à 1927. Les mères de l’école Guigues à Ottawa utilisèrent ces épingles à chapeau afin d’interdire l’entrée des inspecteurs de la province dans l’école qui avait le mandat de signaler tout manquement à l’interdiction d’enseigner en langue française. Dans l’autre cou du castor, on note le pic de mineur et la pelle qui honorent les pionniers qui ont activement participé à la découverte et à la mise en valeur des richesses du sol et du sous-sol et en particulier dans le nord de l’Ontario. Le champ cultivé représente l’agriculture en particulier dans le Sud et l’est de l’Ontario tandis que les conifères sont l’histoire de l’industrie des pâtes et papiers.